Les actions de sobriété peuvent être mal acceptées par l’ensemble des acteurs des territoires (entreprises, grand public et collectivités) et sont souvent présentées comme antagonistes au bien-vivre. Dans le champ des indicateurs de bien-vivre, aucune revue de littérature n’existe pour mettre au jour les co-bénéfices sociaux et environnementaux d’un mode de vie sobre.

Le rapport ADEME présenté en avant-première lors de ce rendez-vous propose une telle synthèse sur les co-bénéfices identifiés dans les approches du bien-vivre et permet de se saisir de questions clés comme : Le bien-vivre est-il associé à la sobriété ? Si oui, quelles dimensions du bien-vivre sont clés pour la sobriété ? Que montrent les indicateurs de bien-vivre de l’articulation entre la soutenabilité sociale et environnementale ?

Ce temps s’articulera autour d’un moment de présentation du rapport ADEME par Fanny Argoud, Hélène L’Huillier (Campus de la transition) et moi-même (GEM) et de la mise en discussion de celui-ci avec les participant.e.s pour envisager la manière dont on peut progresser en termes de connaissance et d’actions sur la synergie sobriété – bien-vivre.

En présentiel à Pantin, sur le campus parisien de GEM ou en visio, on se donne rdv le 30 mai à 17h00!

Pour s’inscrire, c’est ici.